1980’s Music ….. Check it out (444)

"Stars"

He died 1980, so I think it's within the range. The voice. And talent. And drift. They don't do men, like this anymore.

I also feel sometimes as a star that has nowhere to fall.

Why to stop, when you've started:


Sommeillant, je vois la nuit des crimes lourds où l’on saigne
Pauvre moi, pauvre de moi l’outre est pleine à craquer
Au matin, comme il est acre le gout du vin maudit va
Dépense tout mon credit car j’aurai soif aujourd’hui

Et rien ne va, plus rien ne va pour vivre comme un homme droit
Plus rien ne va, pour vivre conne un homme doit

Dans tous les cabarets sans fond où je m’enterre chaque nuit
Je suis L’empereur des bouffons le frère de n’importe qui
Je vais vomir mon repentir au pied des tabernacles
Mais comment prier dans la fumèe de L’encens des diacres

Et comme un vieux loup, dans les bois en fuyant le pire
Je suis restè tout seul avec moi près des montagnes où l’on respire
C’est là gue je voulais trouver un air nouveau plus haut mais
Qui reconnait de loin un vrai sapin d’un faux sapin

Loin de tout manége je suis ma vie, en laissant mat race dans la neige
Pour qu’il me retrouve, l’ami qui me suit loin de tout cortége
Venez, levez-vous, venez par ici, devant et derriére
Nous n’avons que de faux amis, faux amours, faux frérs
Vois-tu les sorciéres ici ou lá, dans la foret qui bouge
Vois-tu le bourreau tout là-bas avec son habit rouge
Rien ne va ici déjà sur mon chemin de terre
Mais j’ai bien peur que l’au-delà ressemble à un enfer

Rien ne va… comme un homme quoi!

One of my absolute favourites. And don't get scared, it's the last :)

I also wish, I learned another beautiful language like French or Spanish (I have Russian already), instead of English. Perhaps, in my next life.

Comme le fruit tombé sans avoir pu mûrir la faute à l’homme la faute au vent
Comme l’homme qui sait en se voyant mourir qu’il n’y aura plus jamais de temps
Un jour de plus il aurait pu chanter faute au destin faute à la chance
Faute à ces cordes qui s’étient cassées son chant s’appelera silence
Il peut tourjours le commercer nul ne viendra jamails danser
Nul ne le reprendra en choeur il n’aura jamais rien fini
À part cette blessure au coeur et cette vie

Pourquoi j’voudrais savoir pourquoi pouquoi elle vient trop tôt la fin du bal
C’est les oiseaux jamais les balles qu’on arête en plein vol

Comme c’est disputes commecées le soir faute à la nuit faute à l’alcool
Et dont il ne restera rien plus tard que quelques mégots sur le sol
Il aurait tant voulu frapper pourtant faute au couteau faute à la peur
Il n’aura fait aucun combat au sang juste le temps d’un peu de sueur
Lui qui aurait voulu tout savoir il n’aura même pas pu tout voir
Lui qui avait l’amour au corps pour la seule qu’il aurait gardée
Il a rendu sa barque au port sans l’embrasser sans la toucher
Juste y penser jusquà la mort

Pourquoi j’voudrais savoir pourquoi elle vient trop tôt la fin du bal
C’est les oiseoux jamais les balles qu’on arête en plein vol

Il écrivait comme on se sort d’un piège faute au soleil faute aux tourmens
Mais comme il prenait pour papier la neige ses idées fondaient au printemps
Et quand la neige recouvrait sa page faute aux frimas faute à l’hiver
Au lieu d’écrire il essayait courage d’attraper les flocons en l’air
Mais aujourd’hui il est trop tard il n’aura pas pris le depart
Et son souvenir ne sera que la chanson d’avant la lutte
De l’évadé qui n’aura pas atteint son but

Pouquoi j’voudrais savoir pourquoi pourquoi elle vient trop tôt la fin du bal
C’est les oiseoux jamais les balles qu’on arête en plein vol
C’est les oiseoux jamais les balles qu’on arête en plein vol